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Un toit digne pour chaque famille du Haut Maroni
Aidez-nous à bâtir la justice sociale là où l'État a trop souvent échoué.
Imaginez vivre sans électricité fiable, sans eau courante, dans une maison en planches abîmées, avec un toit qui fuit à la moindre pluie.
C’est le quotidien de milliers de familles françaises vivant dans les villages du Haut Maroni, en Guyane, territoire pourtant rattaché à la République.
Aujourd’hui, vous pouvez faire une réelle différence.
Notre objectif : Nous visons la programation de 1000 unités, a obtenir, sur 4 ans, des engagements concrets de nos partenaires pour construire des logements accessibles aux familles à revenus modestes, dans les communes de Maripasoula, Papaïchton, Grand-Santi, Apatou et Camopi.
Qui somme nous
Nous sommes les porteurs d’un projet ambitieux visant à éradiquer l’insalubrité, l’insécurité et la pénurie de logements décents pour les populations démunies du Haut Maroni. Ce projet, que nous portons avec conviction au sein d’AISAIMMO Société Anonyme Coopérative de Production d’HLM récemment créée s’inscrit pleinement dans le cadre de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS), conformément à la loi n°2014-856 du 31 juillet 2014.
L’art Wayana
L’art Wayana est une forme d’expression profondément enracinée dans la culture spirituelle, sociale et environnementale du peuple Wayana, une communauté amérindienne vivant principalement dans les régions reculées du sud de la Guyane française, le long des rivières Maroni, Tampok et Litani, ainsi qu’au Suriname et au nord du Brésil.
1. Origine et ancrage culturel
L’art Wayana est intimement lié à leur mode de vie traditionnel : un mode de vie communautaire, forestier, spirituel et rituel. Chaque objet ou ornement n’est pas qu’un artefact esthétique, mais une manifestation d’une vision du monde, d’un rapport sacré à la nature, et d’une transmission des savoirs ancestraux.
2. Formes artistiques majeures
a) Tissage et perlage
Les Wayana sont maîtres dans l’art du perlage et du tressage de fibres naturelles et de perles de verre importées.
Objets typiques :
Ceintures perlées (pisin) : portées par les femmes lors des cérémonies.
Bandeaux de tête (tuwak) : richement décorés de perles et de plumes.
Sacs tressés ou objets de prestige utilisés pour les grandes cérémonies (Maraké).
b) Masques et costumes rituels
Fabriqués à partir de fibres végétales, de bois, de résine, de plumes et de peintures naturelles.
Portés principalement par les jeunes initiés lors des rites de passage ou lors de fêtes comme le Maraké, le grand rituel d’initiation masculine.
Chaque élément du costume a une fonction symbolique (animal-totem, force spirituelle, protection contre les esprits).
c) Peinture corporelle
Réalisée avec :
Le roucou (couleur rouge), issu de la plante Bixa orellana.
Le genipa (couleur noire), issu du fruit du Genipa americana.
Les motifs varient selon le sexe, l’âge, le statut, et la cérémonie.
Ils jouent un rôle spirituel : protéger l’âme, repousser les esprits néfastes, marquer les étapes de la vie.
d) Sculpture sur bois
Moins connue du grand public, elle est pourtant très présente dans :
Les rameurs et pagaies décorés.
Les flûtes rituelles, trophées ou objets chamaniques.
Les sièges ou tabourets sculptés, transmis de génération en génération.
3. Une fonction spirituelle et sociale
L’art Wayana n’a jamais pour but la simple décoration. Il est :
Rituel : utilisé dans les cérémonies de guérison, d’initiation, de deuil, ou de fertilité.
Protecteur : chaque symbole a une fonction de défense spirituelle.
Identitaire : il marque l’appartenance à un clan, un rôle ou un stade de la vie.
Éducatif : les enfants apprennent en observant, en imitant et en intégrant le sens profond des objets qu’ils manipulent.
4. L'art Wayana aujourd’hui
Malgré les pressions de la modernité et de l’oubli culturel, l’art Wayana résiste et se renouvelle :
Transmission par les aînés dans les villages.
Intégration dans des expositions artistiques ou des programmes culturels en Guyane et en métropole.
Collaborations avec des artistes contemporains, qui valorisent ces savoir-faire dans des œuvres modernes.
Création d’ateliers de tissage et perlage pour les jeunes femmes, comme acte de résistance culturelle.
En résumé
Élément
Description
Matériaux
Roucou, genipa, perles, fibres végétales, plumes, bois
Objets clés
Ceintures, bandeaux, masques, flûtes, peintures corporelles
Utilisation
Rituels, initiations (Maraké), fêtes, protection spirituelle
Transmission
De manière orale, familiale et rituelle
Valeur
Identitaire, éducative, spirituelle, sociale
Mode d’habitat et des types de maisons traditionnelles Bonis
Les Aluku, aussi appelés Bonis, sont un peuple Bushinengué (ou Marron), descendant d’esclaves africains qui se sont affranchis des plantations coloniales néerlandaises au XVIIIe siècle. Installés principalement le long du fleuve Maroni, entre la Guyane française et le Suriname, les Aluku ont développé un mode d’habitat et des types de maisons traditionnelles en lien direct avec leur culture, leur environnement tropical, et leur organisation sociale.
Voici une explication complète de leurs maisons et de leur mode d’habiter :
1. La maison Aluku traditionnelle
a) Structure générale
Matériau principal : bois local (wapa, angelim, gommier, etc.) issu de la forêt amazonienne.
Toiture : en feuilles de palmier (palmier bâche ou tropiques) ou aujourd’hui en tôle ondulée.
Fondations : sur pilotis courts (ou parfois directement au sol) pour résister à l’humidité et aux inondations.
Forme : rectangulaire ou légèrement trapézoïdale, avec un toit à deux versants très pentus.
b) Techniques de construction
Assemblage traditionnel sans clous : utilisation de lianes, de tenons-mortaises, ou de chevilles en bois.
Finitions gravées ou peintes à la main : ornements géométriques, symboles protecteurs.
Orientation : souvent orientée en fonction du fleuve ou du soleil.
2. Fonction sociale et agencement
a) Maison d’habitation (koti)
Sert de résidence principale pour un noyau familial : femme, enfants, parfois grand-mère.
Pas de cloisons internes, parfois un rideau sépare l’espace de nuit.
Hammac ou matelas posé à même le sol.
Cuisine souvent en extérieur ou dans un abri à part (kisi).
b) Cuisine et cases secondaires
Souvent une case distincte est utilisée pour la cuisine à feu de bois, appelée "kisi".
D’autres petites structures peuvent abriter des vivres, des outils ou des vêtements.
c) Maison des anciens ou case collective
Les anciens (souvent les femmes aînées) ont leur propre maison.
On trouve aussi des cases collectives pour les veillées funèbres ou les cérémonies (du) comme le Gaan Toko.
3. Implantation dans le village (kampu)
Les maisons sont disposées en rangées ou en cercle, autour d’un arbre sacré ou d’une place centrale.
Le fleuve Maroni guide souvent l’implantation du village.
Chaque maison est reliée par des sentiers sablonneux et dégagés, entretenus par les femmes.
L’église, la maison du granman (chef coutumier) et la maison du tambour sacré sont les lieux les plus importants du kampu.
4. Symbole de l’identité et du lien à l’ancêtre
Construire sa maison est un acte d’ancrage spirituel : elle incarne la mémoire, l’identité, et le lignage.
Chaque maison est aussi associée à une lignée maternelle (matrilinéaire).
On ne peut pas construire n’importe où : il faut demander la bénédiction des ancêtres et obtenir un terrain du clan.
5. Évolution contemporaine
Aujourd’hui, les maisons Aluku connaissent des transformations :
Utilisation de parpaings, fenêtres vitrées, électricité solaire ou toitures en tôle.
Maisons hybrides : une partie moderne et une case traditionnelle voisine.
Toutefois, les familles tiennent souvent à conserver une case traditionnelle, pour la mémoire, les rituels, ou les grands-mères.
🛠️ Exemple d’habitat traditionnel Aluku :
Élément Fonction
Koti Maison principale
Kisi Cuisine séparée
Du Case de rituel funéraire
Case d’entreposage Vivres, outils, objets sacrés
Cour Lieu de vie, de rencontre
En résumé
L’habitat Aluku est bien plus qu’un toit. C’est une architecture de la résistance, un savoir-faire hérité des ancêtres marrons, adapté au climat équatorial, à la solidarité communautaire et aux rituels spirituels. Il reflète la capacité du peuple Aluku à vivre en harmonie avec la forêt, tout en perpétuant une culture unique et résiliente.
L’art timber Aluku
L’art timber Aluku, aussi appelé parfois art sculpté bushinengué ou art maronique, est une expression artistique traditionnelle du peuple Aluku (également appelés Boni), une communauté marronne vivant principalement dans le Haut Maroni (Guyane française et Suriname). Voici une explication détaillée de cet art
1. Origines culturelles
L’art timber Aluku est intimement lié à l’histoire des Marrons, descendants d’esclaves africains qui se sont échappés des plantations coloniales pour fonder des communautés autonomes dans l’intérieur amazonien. Le peuple Aluku, l’un des six peuples marrons du Suriname et de Guyane, a développé une culture propre mêlant héritages africains, influences amérindiennes et adaptations locales.
2. Définition du “timber”
En créole local, le mot "timber" désigne un élément de bois sculpté, souvent orné de motifs géométriques, végétaux ou symboliques. Ce bois sculpté est omniprésent dans la vie quotidienne et rituelle des Aluku.
Il peut s'agir de :
Panneaux de lit (têtières et pieds),
Dossiers de bancs ou de chaises,
Coffres ou boîtes à bijoux (souvent offertes comme cadeaux de mariage),
Portes, linteaux, poteaux de maisons,
Instruments de musique ou objets rituels.
3. Symbolisme et motifs
Les motifs du timber sont souvent :
Géométriques : losanges, spirales, croix, cercles, etc.
Floraux ou végétaux stylisés
Symboliques : parfois associés à des croyances ou à l’histoire familiale.
Personnels ou identitaires : certaines sculptures portent des marques liées au clan, au statut social, ou à l’origine.
La décoration n’est jamais purement décorative : elle transmet des valeurs, des récits, des identités.
4. Techniques et matériaux
Le bois utilisé est souvent le wacapou, l’angélique, ou d’autres essences locales, choisies pour leur robustesse et leur beauté.
La sculpture est généralement réalisée à la main à l’aide de gouges, de couteaux ou de ciseaux à bois.
Des éléments peints ou pyrogravés peuvent compléter le travail.
5. Fonction sociale et spirituelle
L’art timber accompagne les grandes étapes de la vie (naissance, mariage, décès).
Il est souvent offert en cadeau symbolique (ex. : un banc sculpté entre époux).
Il peut aussi avoir une fonction protectrice ou rituelle.
6. L’art timber aujourd’hui
Cet art continue à vivre et évoluer : certains artistes Aluku perpétuent la tradition tout en innovant.
On trouve aujourd’hui des œuvres timber dans des galeries d’art, des musées, ou comme éléments d’aménagement urbain en Guyane.
Il représente un patrimoine vivant, reconnu pour sa richesse esthétique et culturelle.
En résumé :
L’art timber Aluku est une forme d’expression artistique et culturelle profondément ancrée dans l’histoire des Marrons du Haut Maroni. Il combine bois sculpté, symbolisme, et transmission culturelle, avec une forte charge identitaire et sociale. C’est à la fois un art utilitaire, rituel et esthétique, emblématique de la résistance, de l’autonomie et de la créativité des peuples marrons.
Mode d’habitat et des types de maisons traditionnelles Wayana
Les Wayana sont un peuple autochtone amérindien vivant principalement dans le sud-ouest de la Guyane française (Haut-Maroni), ainsi qu’au Suriname et au nord du Brésil. Leur habitat reflète une relation étroite avec la nature, une organisation sociale traditionnelle et des valeurs communautaires profondes.
Voici une explication détaillée des maisons et du mode d’habiter Wayana :
1. La maison traditionnelle wayana (tukul)
a) Architecture
Forme : ovale ou circulaire, parfois rectangulaire avec angles arrondis.
Structure : en bois local (palétuvier, wacapou, etc.).
Toiture : en feuilles de palmier (balatá, patawa ou troisième palme), tressées et posées de façon étanche.
Sans murs pleins : parfois fermée avec des nattes de roseau ou des écorces, mais souvent ouverte pour ventiler.
Elle s’intègre parfaitement au climat humide équatorial et favorise la circulation de l’air tout en protégeant de la pluie.
2. Répartition des maisons dans le village (talu)
Le village (talu) est souvent installé sur une élévation naturelle ou artificielle près du fleuve, en surplomb des zones inondables.
Les maisons sont espacées, entourées d’un jardin vivrier (manioc, banane, piment, etc.).
Un carbet collectif est généralement construit au centre du village ou à côté de la maison du chef.
L’organisation spatiale reflète la structure familiale et clanique.
3. Types de constructions Wayana
Type de construction Fonction
Maloca (carbet) Maison collective pour cérémonies, réunions, danses (maraké).
Tukul Maison individuelle ou familiale (noyau restreint).
Carbet de cuisine Structure à part pour cuisiner au feu de bois.
Case funéraire Abri rituel pour les objets ou les ossements des défunts.
4. Vie quotidienne dans l’habitat
Le hamac est central : on y dort, on s’y repose, il sert d’assise.
Pas de mobilier lourd : seulement des paniers, nattes, outils accrochés ou rangés dans des paniers suspendus.
Le feu est souvent maintenu en permanence dans la cuisine.
L’habitat est auto-construit collectivement, souvent avec l’aide de la famille élargie ou du clan.
5. Adaptation écologique et autonomie
Tous les matériaux sont prélevés dans la forêt de manière durable.
Les maisons peuvent être reconstruites tous les 10 à 15 ans en fonction de l’usure des matériaux naturels.
L'habitat est pensé pour une mobilité souple : les Wayana peuvent reconstruire un village ailleurs si le site est devenu insalubre ou symboliquement chargé.
6. Symbolique et culture
L’habitation n’est pas un simple abri : c’est un lieu sacré lié aux ancêtres, à l’identité du clan.
La maison est consacrée par des rites, parfois lors de fêtes rituelles (maraké), notamment pour les jeunes garçons initiés.
Certaines décorations en roucou, fibres et peintures sont ajoutées lors de cérémonies.
7. Évolution contemporaine
Des maisons en parpaings, avec toit en tôle, sont apparues (notamment dans les villages proches des centres administratifs).
Mais beaucoup de familles conservent leurs maisons traditionnelles, en parallèle, pour les cérémonies ou les aînés.
Les constructions modernes sont souvent inadaptées au climat (chaleur intérieure, mauvaise ventilation), ce qui explique un retour partiel aux tukuls.
En résumé
L’habitat Wayana est :
Communautaire et en lien avec le cycle de la nature.
Fonctionnel et écologique, conçu pour être facilement reconstruit ou déplacé.
Spiritualisé : c’est un lieu de transmission, de respect des ancêtres, et de vie collective.
Évolutif : combinant aujourd’hui tradition et adaptation aux normes modernes (école, santé, téléphonie).
Notre initiative n’a aucunement pour but de remplacer ou d’effacer la culture des communautés desquelles nous sommes nous-mêmes issus mais vise à leur offrir une égalité des chances pour vivre dignement en tant que citoyens français.
UN PROJET INÉDIT ET RÉVOLUTIONNAIRE
Nous sommes AISAIMMO, une coopérative d'intérêt public reconnue, récemment créée pour répondre à la crise dramatique du logement en Guyane.
Nous avons une mission claire : redonner dignité et stabilité à des familles oubliées depuis des décennies.
Avec votre soutien, nous allons :
✅ Construire des logements solides, durables, modernes et accessibles,
✅ Utiliser des matériaux locaux et des techniques de construction innovantes qui réduisent les coûts de 50 à 65 %,
✅ Respecter la culture, les modes de vie traditionnels et l’environnement unique du Haut Maroni,
✅ Employer et former des habitants locaux à chaque étape du chantier,
✅ Offrir une alternative à l’exode, à l’insalubrité, et à l’oubli institutionnel.
Ce montant permettra de :
A renforcee notre apport personnel de 10 - 15 % qui sera utuliser a
🏗️ Finaliser l’acquisition des premiers terrains à Maripasoula,et 29 logements sociaux
🏡 Démarrer la construction de 133 premiers logements sociaux sur une base pilote,
📐 Couvrir les frais techniques (géomètre, architecte, ingénierie),
👷♀️ Embaucher et former des ouvriers locaux,
📦 Démarrer les achats de matériaux biosourcés ou recyclés.
Chaque euro investi sera utilisé avec rigueur et transparence, dans une logique de coopérative à lucrativité limitée tres encadre et reglementer . Tous les bénéfices sont réinjectés dans le projet.
POURQUOI 1,3 MILLION D’EUROS ?
POURQUOI NOUS FAIRE CONFIANCE ?
✅ Le projet est soutenu par des élus locaux, des députés, des maires et des associations.
✅ Nous sommes en cours d’agrément en tant que Société Coopérative de Production d’HLM (SCP HLM) definitif.
✅ Nous disposons d’un plan de financement structuré incluant prêts, subventions et apports privés.
✅ Nous sommes ancrés localement, à l’écoute des habitants et portés par une équipe issue du territoire.
🎁 50 € : fournitures pour un plafond étanche
🎁 100 € : deux fenêtres sécurisées
🎁 250 € : une toilette écologique pour une famille
🎁 500 € : ciment, tôle et charpente pour un module familial
🎁 1 000 € et + : vous devenez parrain/marraine d’une maison coopérative – avec mention dans notre mur des bâtisseurs.
Tagline
VOTRE DON CHANGE UNE VIE
Ce que nous bâtissons, ce n’est pas qu’un toit…
C’est la possibilité pour un enfant de faire ses devoirs au sec avec une eclairage au chaux,
C’est une mère qui peut cuisiner en sécurité,
C’est un ancien qui dort tranquille sous un toit qui ne fuit pas,
C’est une jeunesse qui croit de nouveau en demain.
Suivez l’évolution
Chaque euro sera traçable. Des photos, vidéos, reçus et témoignages vous seront partagés à chaque étape de la construction. Nous voulons que vous voyiez le fruit direct de votre générosité.
Rejoignez-nous. Construisons ensemble l’espoir.
🌱 Chaque don est un acte de justice. Chaque contribution compte.
Presentation du Projet
Face à la crise du logement en guyane, du mal-logement, de l'insalubrité et des
inégalités qui touchent la région, les communes du Haut-Maroni, notre entreprise
propose une solution révolutionnaire et ambitieuse : bâtir un avenir durable grâce à
des logements accessibles et adaptés aux réalités locales. Nous avons développé un
nouveau modèle de construction qui permettra de réduire considérablement les
coûts jusqu’à 50 - 65 % des coûts actuels en combinant des matériaux innovants et
des ressources locales.
Notre mission est claire : offrir aux familles les plus démunies l’opportunité
d’accéder à un logement décent tout en stimulant l’économie locale.
Nous visons la programation de *1 000 logements en quatre ans*, intégrant à la
fois la planification, la programmation et la mise en oeuvre. Ce projet sera une
source d’emploi massive pour la région, générant des opportunités d'emploi
directes et indirectes pour les habitants, tout en renforçant le tissu social des
communes de Maripasoula, Papaichiton, Grand Santi et d'Apatou.
Avec un modèle coopératif unique, nous invitons toutes celles et ceux qui souhaitent
s’impliquer à rejoindre notre initiative. Ce modèle inclusif permettra non seulement
de bâtir des maisons, mais aussi de bâtir un avenir où chacun pourra participer
activement et, en offrant aux familles à revenus modestes la possibilité de
devenir propriétaires..
En collaborant avec les collectivités, les bailleurs sociaux, des acteurs locaux et des
partenaires institutionnels, notre projet ne se limite pas à la construction de
maisons : il aspire à créer un écosystème solidaire et équitable pour les générations
futures. Ensemble, nous faisons le pari de transformer la région du Haut-Maroni en
un modèle d’innovation sociale et de développement durable.
Un toit pour chaque famille, des emplois pour les habitants, et un avenir prometteur
pour la société : telle est notre vision pour les communes du Haut-Maroni.
Notre programme initial prévoit l'acquisition et la construction de nouveaux
logements à Maripasoula dans un avenir très proche, comme détaillé ci-dessous.
HISTORIQUE
La Guyane est une collectivite territorial d’Outre mer. Il est bordé par l'océan Atlantique
au Nord, le Bresil a l’Est et le Sud, le Suriname à l’Ouest. Son climat est tropical et Himide
avec deux saisons : la saison sèche et la saison des pluies. La region doit son nom au
peuples autochtone, Guyane sinifie l’eau en abondance.
Superficie : 83 846 km2 (1/3 de la superficie du territoire Français)
Population totale : 301 099 d’habitants
Taux de croissance démographique : 2,1 % an
Population urbaine : 50 % du total
Densité démographique : 3.51 habitants / km2
Maripasoula, principale ville de la vallée du haut Maroni ,occupe 21.2 % du territoire Guyanaise
soit 18 360 km2; cependant, la vallée du haut Maroni concentre 12% de la population et 8%
des activités économiques la collectivité territoriale de Guyane.
La ville de Maripasoula elle-même dépasse les 12 milles d’habitants et son engorgement
croissant constitue un défi majeur pour les transports, le développement, l’environnement, mais
surtout le secteur de l’immobilier où la demande est très forte, justifiant la volonté d’
AISAIMMO de mettre en oeuvre le présent projet de construction de la Cité « MA SANIA » et
l’acquisition du cartier ABDALLAH.
En dépit du manque de logement et de la flambée des prix des matière premier,
l’immobilier, est l’un des marchés toujours à la hausse, l’amplification de la crise
sociale et les inquiétudes sur le marché l’arrivée des nouveau développements tell que le
nouveau lycée et autre le marché de l'emploi et de l’immobilier n’ont pu tempérer la très forte
demande dopée par la part des Maripasoulien mais également des étrangers qui acquièrent
de plus en plus leurs résidences principales dans la vallée du haut Maroni .
Pourtant, le secteur de l’immobilier offre sur le marché de l’emploi autant de potentialités avec
les métiers connexes qui gravitent autour de ses activités caractérisées par un dynamisme
considérable.
En un mot, le boom immobilier a conduit à la transformation du foncier en « valeur d’épargne
refuge ». L’une des conséquences directes de ce regain d’intérêt vers l’immobilier est la brusque
hausse astronomique de sa valeur en un temps record.
Comme le pétrole, devenu « or noir » dans cette ère post-industrielle, la terre a gagné en valeur.
Ainsi, la valeur foncière est devenue un investissement pour les opérateurs économiques
Guyanais, comme le font remarquer les observateurs.
L'enclavement constitue l’un des freins majeurs au développement de ces communautés. Plus de 30 000 personnes y vivent coupées du reste du monde, dans des zones où la continuité territoriale est quasi inexistante et où l’égalité des territoires fait défaut depuis des décennies
Le Maroni (néerlandais : Marowijne) est un fleuve d'Amérique du Sud. Sous le nom d'Itany il prend sa source près du massif du Mitaraka, et devient le Lawa lors de sa confluence avec l'Inini et enfin Maroni lors de sa réunion à Grand-Santi avec la rivière Tapanahoni.
D'une longueur de 611,7 km[1], le fleuve et ses îlots étant partagés entre la France et le Suriname, la ligne médiane de son cours fait office de frontière entre la Guyane et le Suriname jusqu'à son embouchure commune avec le fleuve Mana.
Le Maroni est une voie de communication essentielle vers les communes de l' intérieures de la Guyane. La pirogue reste donc le principal moyen de transport sur le Maroni. Tout au long de son cours se succèdent villages et des lieu de cults sacree des Bushinengués (Boni, Djuka, Paramaca) et Amérindiens (Wayana,Lokono, Kali'na).
Plusieurs îles et de nombreux rapides appelés « sauts » en Guyane jalonnent son cours. On dénombre environ quatre-vingt-dix (90) sauts.
La surface du bassin versant du Maroni est de 60 930 km2 à Langa Tabiki. Son module
y est de 1 682 m3/s et son débit spécifique de 27,6 l/s/km2.La lame d'eau écoulée dans son bassin versant annuellement s'élève de ce fait à 870 mm, une valeur élevée très supérieure à celle des fleuves de France métropolitaine mais inférieure à celle des fleuves tropicaux sud-américains que sont l'Amazone(1 197 mm) et l'Orénoque (1 031 mm). En effet la zone drainée par le fleuve bénéficie d'un climat équatorial caractérisé par des précipitations abondantes (2 594 mm/an à Saint-Laurent-du-Maroni).
Les sauts s’appellent des soula en langue locale. : Hermina Soula, Goodou Kampou Soula, Makou Soula, Toou Soula, etc.
Description du projet Acquisition & Amelioration d'immeubles
Située sur la route de Sophie, à 5 minutes du centre ville, les lot de la résidence ABDALLAH
son étaler sur une superficie de 10 000 mètres carrés .
Le projet propose un large éventail de produits immobiliers qui seront destiné strictement
a usage habitat aux personnes a revenue modest:
Des logement groupee de haut standing, au nombre de 29 incluant :
- 20 appartements de type T3 de 70 mètres carrés
- 8 appartements de type T2 de 55 mètres carrés
- 1 appartements de type T6 de 223 mètres carrés
D’une architecture au design « simple », les batiments s’inscrivent dans la génération des plus beaux projets de
la construction de Maripasoula.
L’originalité des batiments offertes réside dans l’intégration d’une aire de stationnement, d’un jardin privé et la
tres forte possibilité de nouvel construction logements sur le terrain.
Répartis entre sept immeubles résidentiels, les appartements de la résidence ABDALLAH offrent tous une
vue absolument splendide sur le canopé sauvage de Maripasoula.
La résidence vous donne un sentiment de bien être dès l’entrée en plus de la sécurité avec la présence des
gardiens dès votre arrivée à la résidence.
Les pièces des appartements, de bonnes proportions permettent un agencement selon les goûts de chacun.
Tout est réuni pour faire de ces appartements un lieu à la fois accueillant et convivial avec des espaces
lumineux et aérés mettant en valeur le volume des pièces ainsi que la vue sur le canopé sauvage de
Maripasoula.
Description du projet Acquisition foncier & construction
Située sur la route de Sophie, à 10 minutes du centre ville, la cité MA SANIA sera érigée sur
une superficie de 30 034 mètres carrés .
Le projet propose un large éventail de produits immobiliers HLM particulièrement
sélectionnés. La première phase du programme offre :
Des maisons individuel de haut standing, au nombre de 65 incluant :
- 27 maisons individuel de 122 mètres carrés de superficie,
- 38 maisons individuel sur 113 mètres carrés.
Les immeubles comprennent :
- Un immeuble avec 26 appartements de 92 mètres carrés chacun.
- Et un immeuble comptant 32 appartements de 113 mètres carrés chacun.
- Des locaux commerciaux de type bureaux et magasins sont prévus au nombre de 10, sur une surface
unitaire de 40 mètres carrés.
D’une architecture au design « ultra moderne », les maison individuel s’inscrivent dans la génération des plus
beaux projets de construction d’HLM de Maripasoula
L’originalité des maisons individuel offertes réside dans l’intégration d’une aire de stationnement, d’un jardin
privé et la disponibilité d’un terrain de sport commun.
Mariant l’utile à l’agréable, tout y est prévu pour contribuer à rendre la vie plus facile et plus confortable
pour la large gamme de maisons individuel de trois aquatre pièces offertes.
Répartis entre deux immeubles résidentiels et 65 maisons individuel de haut standing, les appartements
de MA SANIA offrent tous une vue absolument splendide sur le canopé sauvage de Maripasoula.
Le complexe vous donne un sentiment de bien être dès l’entrée en plus de la sécurité avec la présence des
gardiens dès votre arrivée à la cité.
Les pièces des appartements, de bonnes proportions permettent un agencement selon les goûts de chacun.
Tout est réuni pour faire de ces appartements un lieu à la fois accueillant et convivial avec des espaces
lumineux et aérés
Rejoignez-nous et faites un don
Rejoignez-nous et faites un don à notre cause sociale : votre soutien nous aidera à débloquer les financements nécessaires pour obtenir la subvention de l’État et construire des logements pour tous.